Joël Muller s’exprime sur le choix tactique du marquage de Frank Ribéry:
» Il faut plutôt l’empêcher de devenir le dépositaire du jeu de son équipe. »
Pape Diouf juge, à chaud, la capacité de l’OM à se transcender: » on avait l’impression que Metz se battait pour la Ligue des champions et que nous disputions un match amical. «
José Anigo analyse, avec lucidité, les lacunes d’un groupe qui veux jouer les premiers rôles: » je vois ce match comme un gros projecteur qui nous montre le chemin que nous avons encore à parcourir, pour jouer un jour la Champion’s League. Aujourd’hui, on en est loin. »
Grégory Proment nous livre, peut être, la clé du match: » cette victoire, nous la devons au discours que le président a tenu avant le match d’Auxerre. Il nous a suppliés de tout donner, il en avait les larmes aux yeux. «
Et Habib Beye conclue sur l’incapacité des Olympiens à répondre présent pendant 94 minutes:
» nous avons fait preuve de suffisance sur un corner. Nous n’avons pas été concentrés jusqu’au bout. »