Conforté par ses bonnes prestations et la confiance de Jean Fernandez, Habib Beye a revêtu, depuis quelques semaines, son habit de leader naturel du groupe olympien. Il nous livre ce matin dans le quotidien Le Dauphiné Libéré sa perception sur l’importance de la préparation mentale d’avant match : » quand c’est plus facile, on a du mal ! La préparation mentale est peut-être en cause. Souvent je le ressens. L’atmosphère d’un avant match vous dit tout. En général, ça ne pardonne pas. Après, vous voyez dès les cinq premières minutes si l’équipe est dedans ou pas. Contre Saint-Étienne, au Vél’, je savais qu’on allait gagner. A Metz ou à l’aller contre Saint-Pétersbourg, j’avais tout compris dès l’entame du match… «
Les supporters marseillais vont-ils guetter un signe du Sénégalais, encore incertain, vers 17h05 pour savoir si l’OM va gagner son huitième de finale contre Sochaux ?
