OM : les phrases du jour

Le directeur sportif de l’OM, José Anigo s’engage dans un processus de partenariat avec l’ancien club de Mathieu Valbuena, Libourne Saint-Seurin. Après les arrivées de Déruda et Begeorgi, le dirigeant marseillais se projète déjà dans le mercato hivernal, en déclarant sur le site officiel libournais :  » on a déjà pris l’accord de les aider […]

Le directeur sportif de l’OM, José Anigo s’engage dans un processus de partenariat avec l’ancien club de Mathieu Valbuena, Libourne Saint-Seurin. Après les arrivées de Déruda et Begeorgi, le dirigeant marseillais se projète déjà dans le mercato hivernal, en déclarant sur le site officiel libournais :  » on a déjà pris l’accord de les aider avec un joueur, si besoins est, en décembre. On les aidera parce que les relations que nous avons établies sont de vraies relations de club et c’est comme ça que l’on conçoit les choses. « 

 » L’OM ? Mon meilleur ami Habib Beye évolue là-bas. Même étant ancien du PSG se serait un plaisir d’évoluer là-bas. Chaque année mon cas est évoqué. Les dirigeants olympiens n’ont qu’à m’appeler. Ils connaissent mon numéro de téléphone et le montant du transfert entre 2 et 2.5 millions d’euros. A eux de voir. «  pouvait-on lire aujourd’hui dans le But ! Transfert. Voilà une déclaration quelque peu surprenante de Daniel Ljuboja , l’attaquant serbe en délicatesse avec son club le VFB Stuttgart.

 » Ce joueur nous a de nouveau été recommandé dernièrement par notre cellule et plusieurs personnes sur lesquelles nous nous appuyons pour prospecter à l’étranger. On nous a demandé de le mettre à l’essai. Pourquoi pas ? Je ne ferme jamais la porte car une telle démarche de quelques jours ne coûte rien et on tombe parfois sur de bonnes surprises, si dès le premier match amical, il ne donne pas satisfaction au staff technique, nous mettrons un terme à sa période d’essai. «  Cette déclaration sans ambiguïté de José Anigo, devrait éclairer les supporters de l’Olympique de Marseille, quant à l’arrivée du Costaricain Bolanos dans le groupe d’Albert Emon. (Source : La Provence)

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