Finale – Dernières déclarations : entre confiance et détermination

À quelques heures de la finale de Coupe de France opposant l’Olympique de Marseille au FC Sochaux, OMPlanète vous livre les derniers commentaires des protagonistes. De part et d’autres on affiche confiance et détermination. L’envie est là pour une épreuve qui soulève toujours les passions et dont le prestige reste intacte malgré la vaine tentative […]

À quelques heures de la finale de Coupe de France opposant l’Olympique de Marseille au FC Sochaux, OMPlanète vous livre les derniers commentaires des protagonistes. De part et d’autres on affiche confiance et détermination. L’envie est là pour une épreuve qui soulève toujours les passions et dont le prestige reste intacte malgré la vaine tentative de concurrence de la plus fortunée Coupe de la Ligue. C’est la fameuse « magie de la Coupe de France » rassemblant toute la famille du football français.

José Anigo : « Je sens la tension qui monte, il suffit de regarder l’entraînement, et on s’aperçoit que tout ce qui était plus ou moins tranquille hier, l’est un peu moins aujourd’hui. Et à l’approche du match on voit de la tension dans les séances. Petit à petit, la pression se fait de plus en plus grande. » (source : OM.net)

Habib Beye : « Il y a une énorme envie chez tout le monde de réussir cette finale. Tout le monde est mobilisé dans une bonne ambiance. (…) Nous avons montré des qualités de jeu et d’état d’esprit ces dernières semaines. C’est un acquis non négligeable mais il faudra surtout garder l’état d’esprit car c’est souvent à ce niveau que se gagnent des matches comme cette finale. » (source : OM.net)

Ronald Zubar
: « On peut marquer l’histoire du club. Ce serait le premier trophée depuis 1993. C’est le moment. Et puis, je pense aussi à Robert Louis-Dreyfus. Depuis plus de dix ans, il s’est beaucoup investi personnellement et financièrement. Il mérite qu’on lui gagne ce trophée. » (source : OM.net)

Jérémie Bréchet : « J’ai connu tous les titres possibles avec les équipes de jeunes, mais la Coupe de France, ce serait une première pour moi. Il ne me manque que ça. » (source : fcsochaux.fr)

Teddy Richert : Dans une finale de coupe, je pense que la déception de la défaite est aussi grande que peut être la joie de l’emporter. La défaite, on essaie de l’évacuer rapidement tant on est frustré, c’est de la folie quand on gagne. En 2004 au Stade de France, on a vécu des moments fabuleux avec nos supporters. (…)Quand on discute avec des joueurs qui ont terminé leur carrière, on s’aperçoit que l’important est d’avoir gagné des trophées, d’avoir un palmarès. Même si on a joué 400 matches dans l’élite, c’est d’abord les quelques lignes du palmarès qu’on retient. (…) La Coupe de France possède un côté mythique supérieur à la Coupe de la Ligue, qui est davantage une confrontation de clubs pros. La Coupe de France permet à tout le monde du football de se côtoyer, je crois qu’elle possède un intérêt supérieur et qu’elle représente encore plus dans un palmarès. » (source : fcsochaux.fr)

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