Le premier ministre espagnol Zapatero a apporté son soutien à l’Atletico Madrid et à la police espagnole. D’autres membres du gouvernement socialiste ont également apporté leur soutien, du ministre de l’intérieur à celui de l’industrie en passant par la ministre de l’éducation. De l’autre coté de l’échiquier politique, le Parti Populaire a lui aussi dénoncé les sanctions « injustes » prononcés contre le club, traitant au passage les supporters de l’OM de « sauvages ». L’extrême gauche est la plus modérée sur le sujet, pour eux la sanction n’est pas injuste mais « démesurée ».
La classe politique tout comme les médias sont donc totalement sur la même longueur d’onde, car ces événements pourraient remettre en cause la candidature de Madrid au Jeux Olympiques de 2016…