Le quotidien l’Equipe fait aujourd’hui part d’une demande de mise en liberté effectuée par l’avocat de Santos Mirasierra s’appuyant sur un vice de forme. En effet, l’un des policiers accusant Santos se serait contredit à l’occasion des dépositions du 7 et 27 octobre. Par ailleurs, Lucile, la soeur du capo des Ultras, dénonce dans le quotidien les violences dont il a été victime après le match Atletico-OM : « pendant sa garde à vue, il n’en pouvait plus, il s’est fracassé contre une vitre pour qu’on constate du sang sur lui et qu’on arrête de le maltraiter. » Espérons que le juge fasse enfin preuve d’impartialité et que la requête de l’avocat aboutisse…
