Anigo : « nous laisser bosser »

José Anigo a fait un tour d’horizon de l’actualité marseillaise sur le site officiel de l’OM. La qualification pour les quarts de finale de la Coupe de l’UEFA en poche, le directeur sportif olympien est « satisfait et heureux ». Louant le jeu de l’Ajax, « c’est une équipe qui pratique un football exceptionnel, qui joue en mouvement […]

José Anigo a fait un tour d’horizon de l’actualité marseillaise sur le site officiel de l’OM. La qualification pour les quarts de finale de la Coupe de l’UEFA en poche, le directeur sportif olympien est « satisfait et heureux ». Louant le jeu de l’Ajax, « c’est une équipe qui pratique un football exceptionnel, qui joue en mouvement et qui est pleine de qualités technique », José Anigo espère « un bon tirage » pour l’OM car il sent cette équipe « capable de faire de belles choses ».

Il souligne également le retour sur le devant de la scène de Zenden, « il a confirmé et c’est bien », et les premières apparitions de Tyrone Mears. « quand on laisse le temps aux gens de travailler, quand on est un peu indulgent avec les gens, ça paye », explique-t-il. L’Anglais, auteur du but de la qualification hier, semble s’intégrer peu à peu à l’équipe, « c’est bien pour lui », estime Anigo. « Cela lui donne confiance et j’espère qu’il va pouvoir le confirmer un peu plus loin dans le championnat », ajoute-t-il.

Le Marseillais y va aussi de son petit mot à l’adresse de ceux qui « essayent de nous mettre la zizanie à l’intérieur ». Il ne digère toujours pas la rumeur de Paul Le Guen à l’OM. « Il n’a jamais été question de le voir venir chez nous », assène-t-il. Il poursuit sans décolérer : « je n’ai jamais rencontré Paul Le Guen. Il y a un moment où il faut arrêter ces mensonges, ces bêtises, ces âneries. » Il appelle à la mesure : « il faut absolument nous laisser bosser tranquillement et vous verrez que l’on a de belles choses à faire et qu’il y aura de belles choses à venir pour le club. »

Enfin, José Anigo est déjà tourné vers la rencontre de samedi face à Nantes. Il espère qu’aucun relâchement des joueurs ne viendra ternir dix jours pleins. « Si nous nous laissons un peu griser par ce que nous venons de faire, nous pouvons le payer samedi », prévient-il.

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