Cana explique son départ

Parti cet été pour la respectable équipe de Sunderland, l’ancien capitaine de l’OM avait laissé quelques questions chez les supporteurs du club quant aux conditions de son départ. De retour à Marseille pour encourager ses ex-coéquipiers face à Bordeaux le week-end dernier, Lorik Cana en a profité pour rétablir la vérité sur son transfert aux […]

Parti cet été pour la respectable équipe de Sunderland, l’ancien capitaine de l’OM avait laissé quelques questions chez les supporteurs du club quant aux conditions de son départ. De retour à Marseille pour encourager ses ex-coéquipiers face à Bordeaux le week-end dernier, Lorik Cana en a profité pour rétablir la vérité sur son transfert aux journalistes de RMC.
Alors que beaucoup imaginaient qu’il ne rentrait pas dans les plans du nouvel entraineur du club et que cela l’ait poussé à partir, l’international albanais rétorque qu’il avait déjà pris sa décision avant la fin de saison des Phocéens, même s’il admet que le départ de son président a pu l’influencer dans son choix.
« Personne ne m’a poussé dehors. Ces changements à la tête du club et de l’équipe m’ont influencé dans mon choix mais, au final, c’est moi qui aie pris la décision de partir. J’en avais déjà discuté avant le début de la nouvelle saison avec, à l’époque, Pape Diouf. Les choses étaient claires. Si je souhaitais partir, le club ne s’y opposerait pas, sans pour autant me laisser libre. Il fallait seulement que toutes les parties s’y retrouvent. On a ensuite pris une décision tous ensemble et ça s’est passé correctement.« , assure le milieu récupérateur.

Malgré son départ pour la Premier League anglaise le joueur n’en reste pas moins attaché à l’OM et nourrit un certaine nostalgie de l’époque marseillaise : « je n’ai qu’un seul regret, celui de ne pas avoir été champion. Ça me reste encore en travers de la gorge. Mais je reste le premier supporter de l’OM, même en Angleterre. »

Maintenant que la situation est claire, souhaitons donc bonne chance encore une fois à Lorik Cana pour tout ce qu’il a pu nous apporter sous la tunique phocéenne.

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