On pensait que tout le monde avait fini par y aller de sa petite déclaration sur le match de l’OM face au Benfica Lisbonne. Mais non. Cette fois, c’est au tour d’Enzo Francescoli de se rappeler au bon souvenir des supporters phocéens. Faut il le rappeler, Le Prince était alors, en 1990, l’un des trois attaquants titularisés à la pointe de l’effectif marseillais, avec Papin et Waddle.
« Nous ne méritions pas d’être éliminés. La main de Vata, que seul l’arbitre n’a pas vu, c’est d’ailleurs le plus fort sentiment d’impuissance et d’injustice que j’ai ressenti sur un terrain de football. « Francescoli reste néanmoins persuadé que ce match, resté dans les annales olympiennes, ne perturbera pas « le bon déroulement du match de jeudi. Mais ce dont je suis certain, c’est que l’OM peut, même s’il ne gagne pas, postuler à nouveau à être un grand d’Europe. »
Pour sûr, les joueurs auront à coeur de remporter la victoire, ou, pour le moins, de limiter les dégâts. Mais, à défaut d’être réalisé en la mémoire d’un temps révolu, on espère qu’ils le feront, pour leurs supporters !