La fête aura été au rendez-vous. Les débordements aussi. Conséquences de ces échauffourées toujours stupides, plusieurs individus avaient été interpellés pour répondre de leurs actes. Il s’en était suivi un certain flot de haine mêlé de racisme et un appel à de lourdes sanctions parfois extrêmes, de la part de certains, excédés. Si on peut comprendre que des scènes de guerilla urbaine, en plein centre de Marseille, puissent perturber, l’appel à l’escalade des horreurs n’est jamais une solution.
Quoiqu’il en soit, douze personnes, jugées en comparution immédiate (c’est à dire rapidement après la garde à vue) ont été condamnées à des peines allant jusqu’à huit mois de prison ferme et un an d’interdiction de stade.
En espérant que le message passe…