Deschamps pense à son « 24e match de C1 »

A quelques heures du match retour de l’Olympique de Marseille face au Bayern Munich en quart de finale de Champions League, Didier Deschamps a livré son sentiment sur les chances de se qualifier qu’il estime à « infimes« . Une chance infime de se qualifier « Quand vous avez une équipe comme le Bayern en face, évidemment vous […]

A quelques heures du match retour de l’Olympique de Marseille face au Bayern Munich en quart de finale de Champions League, Didier Deschamps a livré son sentiment sur les chances de se qualifier qu’il estime à « infimes« .

Une chance infime de se qualifier

« Quand vous avez une équipe comme le Bayern en face, évidemment vous vous dites quelles sont infimes. Des clubs sont déjà venus gagner ici, mais gagner peut ne pas nous suffire. » La faute à ce 0-2 encaissé à domicile il y a quelques jours avec des buts de Mario Gomez et de Arjen Robben.

Ce match comme une récompense

Didier Deschamps voit surtout cette rencontre comme une récompense pour les joueurs. « Ce quart, c’est une forme de récompense. Il est important de le vivre pleinement. (…) Je veux qu’ils aient conscience d’être des privilégiés. Beaucoup aimeraient être à notre place. » Or Marseille ne vivra pas ce moment durant au moins un an puisque le club phocéen ne sera pas qualifié la saison prochaine pour cette lucrative compétition en raison d’un classement en championnat plutôt catastrophique.

Deschamps ramène la couverture à lui

Quand on lui demande s’il pense à la saison prochaine et au fait que l’OM ne jouera pas la Ligue des Champions, Didier Deschamps esquive. « Je préfère penser que c’est le 24e match de C1 d’affilée où je suis à la tête de l’OM. C’est une fierté pour moi et pour les joueurs qui vivront cet événement demain. » Le coach phocéen omet de dire que depuis la saison 2006/07, les Phocéens étaient qualifiés chaque saison pour la Champions League et que sous ses ordres en 3 saisons, il ne s’est qualifié que deux fois, la première première participation en 2009/10 étant l’oeuvre d’Eric Gerets et la prochaine n’étant plus, comme on le sait, qu’un doux rêve.

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