Diarra est désormais anglais mais les questions qui lui sont posées tournent encore, parfois, autour de l’OM. Notamment, ce qui suscite les interrogations c’est ce départ « en catastrophe » sous couvert d’un vrai/faux bras de fer du joueur. Alou Diarra, qui s’est exprimé sur le sujet il y a quelques jours, pointe clairement du doigt les pratiques du journal La Provence…
« Je n’avais pas décidé de partir à la base. Mes envies de reprendre plus tard, mes envies de foutre la zizanie, c’est toujours venu d’un même journal, La Provence. »
Si on pourra toujours critiquer les éventuelles errances, si tel est le cas, de La Provence, on pourra également s’étonner qu’un professionnel du football, habitué aux médias n’ait pas su faire la part des choses. Jusqu’à preuve du contraire, ce n’est pas encore un journal qui signe les transferts et négocie les contrats. On va pouvoir continuer à supposer de la réalité de ce qui s’est passé.
