Selon lui, malgré les centaines de millions d’euros investies par le Paris-SG, la Ligue 1 perd en compétitivité : « le championnat baisse d’année en année de façon catastrophique. (…) Et la force de l’OM, c’est la faiblesse des autres. » Il considère s’être trompé sur l’OL, club dont il avait loué la gestion il y a encore quelques semaines de cela : « il va falloir forcément que quelqu’un tombe du podium et je vois plus Lyon éjecté que Marseille à l’heure actuelle. La culture de la gagne de Lyon nous a tous induit en erreur sur l’état du club. »
A force de ne donner que des avis très tranchés, on finit par se contredire. Le jeu de l’OM n’est pas flamboyant mais il ne pointe finalement qu’à sept points du milliardaire parisien et sa situation économique inspire beaucoup plus à l’optimisme que celle des Lyonnais. Surtout, il parait en mesure d’accrocher une place pour la prochaine édition de la Ligue des Champions. Dans ce football moderne, c’est finalement tout ce qui compte.