« Quand bien même il n’a plus de pouvoir au quotidien, c’est quand même un comble qu’un président ayant validé une opération menant à une interdiction de recrutement occupe encore un poste stratégique au sein d’un conseil de surveillance… », a écrit le journaliste de La Provence. Et de poursuivre : « S’il faut attendre la fin de la procédure pour en parler ? On peut, évidemment. Sauf que l’OM vit désormais avec une nouvelle épée de Damoclès au dessus de la tête, après celle de la DNCG consécutive à une gestion financière catastrophique de cette même direction… Les conséquences sont déjà désastreuses. »
Pour rappel, JHE a occupé le poste de président de l’OM entre 2016 et début 2021. Les critiques sont particulièrement vives, concernant les renforts qu’il a autorisés, en rapport avec le budget dont il disposait. Le recrutement de Kevin Strootman constitue notamment l’un des pires (voire le pire) de l’histoire olympienne pour les finances du club.