Ainsi comme beaucoup d’observateurs, l’ancien président de l’OM a été agréablement surpris par la saison phocéenne. D’après lui, l’équipe « est managée de main de maître pour arriver à compenser le manque de certaines individualités par une cohésion, un caractère et une organisation ». Il souligne le bon travail de Vincent Labrune qui, malgré de nombreuses critiques, a su tenir ses objectifs : « je me fie à ce que je vois de l’extérieur, qui est incompatible avec le hasard : ils sont 2ème derrière le Paris SG, en ayant réussi à faire en sorte que le club ne soit pas en déficit, et en garantissant, par conséquent, sa pérennité. Les résultats financiers sont un paramètre essentiel. »
Il est effectivement rare que l’OM se rétablisse aussi vite d’une saison laborieuse comme l’a été 2011-2012. Le plus dur reste néanmoins à venir : parvenir à accrocher le podium en gérant à la fois le calendrier désormais surchargé par la Ligue des Champions et l’arrivée de la nouvelle concurrence monégasque.