Ces dernières semaines, plusieurs journalistes se sont enflammés sur le parcours réalisé par l’OM d’Igor Tudor. La défaite concédée contre Nice (1-3) les a calmés, mais Gregory Schneider reste convaincu que le PSG peut défaillir, en seconde partie de saison : « Ce n’est pas terminé. Et je mets Lens sur la tartine (sic). Il peut se passer beaucoup de choses, la double confrontation face au Bayern Munich impactera le Paris Saint-Germain, plus ou moins durablement », a-t-il lancé sur Radio J.
« C’est une équipe en grande difficulté »
Schneider n’est pas serein, au regard des derniers matchs du PSG : « On sent que collectivement, c’est une équipe en grande difficulté, en grande souffrance. Elle ne dégage pas grand-chose. Ella des problèmes récurrents en défense, Donnarumma n’est pas Navas. J’aurai l’impression d’insulter les Marseillais et les Lensois en fermant la porte. »
Grégory Schneider n’a pas attendu ce mois de février pour prononcer des paroles interprétées comme des insultes par les fans phocéens. À l’instar de Vincent Duluc, le journaliste de Libération n’est pas un modèle d’objectivité et de modération.
Contre l’OM, ce soir, le PSG de Christophe Galtier affichera certainement un visage très différent de celui montré contre les autres équipes. Au contraire de Lens ou Rennes, les hommes d’Igor Tudor n’affronteront pas des joueurs peu concernés.
