Pour Denis Balbir, l’expérience de Marcelino est un vrai comparé à son prédécesseur : « Est-ce que j’y crois ? J’ai envie oui. Déjà, il est proche de Pablo Longoria et c’est une bonne chose dans la relation coach-dirigeants. On a déjà vu des amis s’écharper dès lors qu’ils retravaillent ensemble dans un contexte à pression, mais cela reste une base de travail. L’autre point qui me fait dire que Marcelino peut être la bonne personne, c’est son CV. Alors que Tudor n’avait entraîné que des clubs de moindre envergure en Italie, l’Espagnol a prouvé des choses dans plusieurs grands clubs de Liga comme Valence et l’Athlétic Bilbao. En plus, partout où il est passé, ses anciens joueurs sont élogieux et vantent ses qualités humaines. »
Et le journaliste de poursuivre : « On restait sur une saison compliquée avec Igor Tudor en termes de relations humaines. Marcelino est plus proche de ses joueurs, plus dans le dialogue. C’est aussi quelqu’un de pointu au niveau tactique, très carré concernant l’hygiène de vie… Je pense que ses qualités peuvent matcher avec ce vestiaire. Sur le papier, je vois en tout cas plus de rondeur par rapport à la révolution brutale imposée par Tudor.«