Pour le consultant, malgré un match aller mal négocié, ce sont bien les décisions de Michael Oliver et de l’assistance vidéo, qui ont condamné l’OM face au Panathinaïkos : « Parfois, on peut parler vingt heures de tactique après un match. On pourrait même le faire après, si vous voulez. Mais quand l’arbitrage touche à l’absurde, c’est compliqué. Si tu as joué 20 secondes dans ta vie au football, tu ne peux pas ne pas siffler la charge dans le dos sur Matteo Guendouzi à la 92e minute. Sur cette action, il y a une faute manifeste du défenseur grec, qui charge Guendouzi dans le dos. Pour moi, c’est l’un des plus gros scandales de l’année en football. »
Et l’ancien gardien de but de poursuivre : « Ensuite, en prolongation, il y a l’action du but refusé à Vitinha où Sarr est logiquement signalé hors-jeu car il fait action de jeu en empêchant son vis-à-vis de défendre. Mais est-ce que la VAR a regardé s’il y avait penalty sur Amine Harit sur la même action, deux secondes avant ? Selon moi, il doit y avoir but refusé et penalty. »