L’ancien coach du FC Valence reconnaît que ses principes sont bien différents de ceux de son prédécesseur : « On a une méthodologie qui n’est pas comparable aux autres. On essaye d’avoir une mentalité claire pour tout le monde. Aucune équipe ne peut être prête en 20 jours. Passer d’un marquage individuel à un marquage en zone, ce n’est pas évident. Cette défaite (face au Panathinaïkos) ne doit pas modifier notre chemin, la saison va être longue. »
S’il reconnaît que la défaite était dure à encaisser pour le groupe, Marcelino estime que le groupe est malgré tout sur la bonne voie : « C’est un coup dur, on ne s’y attendait pas au vu du cours du match. C’est cruel. On pourrait se plaindre et baisser les bras ou se relever. On a tiré des leçons, on a prouvé qu’on est sur la bonne voie. On a joué trois matchs et on en a gagné deux. Hier était encore très tôt pour changer d’état d’âme. Il faut toujours du temps, on a un peu parlé ensemble. Hier était le dernier jour pour être triste. On se relève parce que c’est ce que nous demande le public. On connaît la voie à suivre. Si on n’avait pas mérité, on aurait pu être triste deux fois. C’est très difficile à digérer, mais on va faire le possible pour aller de l’avant.«