Il ne fait guère de doutes que l’OM a été défavorisé par l’arbitrage lors des deux dernières rencontres. Si tout n’a évidemment pas été parfait lors de la double confrontation contre le Panathinaïkos, un arbitrage « normal » aurait permis à l’OM d’assurer sa qualification lors du match retour.
Pour Saïd Enjimi, la faute grossière sur Mattéo Guendouzi aurait dû être sanctionnée d’un penalty : « La charge sur Guendouzi ? Penalty ! Il se désintéresse totalement du ballon, son seul objectif est de bousculer. L’épaule contre épaule se justifie quand le ballon est à distance de jeu de l’adversaire, ce n’est pas le cas. La vidéo aurait dû intervenir. » Une décision qui aurait sans doute plié le match à dix minutes du terme.
Bis repetita à Metz
Également interrogé sur le but du break refusé à Valentin Rongier sur la pelouse de Saint-Symphorien, Enjimi est formel : l’assistance vidéo n’aurait pas dû intervenir sur cette action : « Je vois deux joueurs à la lutte, je vois M. Brisard parfaitement placé et je le vois surtout montré de sa main que l’action doit se poursuivre. Seules les erreurs manifestes sont de nature à faire intervenir la VAR, c’est une intervention totalement inopportune. Le but n’aurait pas dû être refusé à l’OM. »
Les Olympiens ont donc laissé filer une qualification en barrages de Ligue des Champions et deux points en Ligue 1 suite à des erreurs d’arbitrage.