Ce matin, L’Équipe a publié une longue interview de Marcelino. L’Espagnol dénonce les menaces qui ont été prononcées par certains leaders de supporters et explique son départ qu’il a jugé contraint de Marseille. Eric Di Meco, dont les propos sur les événements n’avaient pas été clairs, n’a pas été tendre à son sujet : « Il est parti comme un peureux au bout de deux mois alors qu’il n’a jamais été remis en cause. Il faut expliquer pourquoi il fait cette interview. Il parle à d’éventuels clubs qui voudraient le faire revenir donc il essaie de se dédouaner d’un fiasco. Quand tu pars au bout de deux mois, que tu n’as pas réussi ton premier objectif qui est de qualifier l’équipe en Ligue des champions, et que tu pratiques un jeu illisible pour tes joueurs et encore pire pour les suiveurs, tu ne fais pas de raisonnements. (…) Tu ne peux pas, en ayant passé deux mois ici et en ayant échoué, dire ce qu’il dit sur le club », a déclaré le consultant.
Eric Di Meco semble plus indulgent vis-à-vis de ceux qui ont menacé que de ceux qui sont partis. Il faut rappeler que le consultant a affirmé être proche de certains leaders de groupes de supporters. Ceci explique peut-être cela.
