On ne peut pas dire que la VAR soit vraiment inspirée, cette saison, en Ligue 1. La faute aux hommes, et non à la technologie. « Avant, au moins, l’arbitre devait regarder dans les yeux les joueurs qu’ils venaient d’entourlouper. Avec le VAR, il n’a même plus ce (léger) désagrément. Il est là, tranquille, avec son sandwich au thon. À l’abri », a lâché le journaliste par le biais de son compte Twitter.
L’OM, comme d’autres clubs, a été victime de décisions (voire de non-décisions) assez aberrantes de la part de la vidéo, cette saison. L’arbitrage est peut-être simplement à l’image des instances françaises. C’est-à-dire loin d’être au niveau des joueurs et de la compétition dans laquelle il prétend intervenir.