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Plus que 3 jours avant le match le plus important de l’année ! Ca y est mes délires me reprennent après quelques jours de clairvoyance. Où en est-on une semaine après le débarquement de Perrin ? Tout d’abord, il convient de souligner sa dignité, et de rappeler que si cela apparaissait comme la seule solution, […]

Plus que 3 jours avant le match le plus important de l’année !
Ca y est mes délires me reprennent après quelques jours de clairvoyance.

Où en est-on une semaine après le débarquement de Perrin ?

Tout d’abord, il convient de souligner sa dignité, et de rappeler que si cela apparaissait comme la seule solution, c’était celle de la facilité.

Il n’a d’ailleurs pas été surprenant de noter la différence de comportement montrée par les joueurs sur le terrain dimanche soir. La semaine dernière j’évoquais ce fait en soulignant que si la cassure était bien réelle entre Perrin et ses joueurs, nous devrions voir rapidement la différence même si les résultats ne suivaient pas.
Le match contre Lens en a été l’illustration. L’équipe n’aurait jamais gagné ce match précédemment :
ils se sont battus, certes avec leurs moyens actuellement limités, mais ont réussi à forcer la chance malgré deux égalisations nordistes.
Nous n’avons entendu côté olympien aucune critique vis à vis de l’arbitre, aucune invocation de malchance …
et Paris (Mendy pour ne pas le citer) commence à brandir le spectre d’une équipe qui va chercher la bagarre, et d’un match qui ne se finira pas à onze :
Le climat serait il en train de changer ?
Le PSG recommencerait-il à craindre un déplacement à Marseille, ou pense t’il arriver, par ses mots (ou ses maux), à rajouter de la pression sur les « fragiles » épaules olympiennes ?

Avant de tourner définitivement la page sur cet épisode perrinien, je soulève le fait, que certains de nos joueurs devraient à l’heure actuelle méditer sur ces événements et la tournure qu’ils ont pris :
ils sont en droit, voire dans l’obligation, dans l’optique de la suite de leur carrière, de se poser quelques questions sur leur rôle dans cet échec collectif . Surtout, quand on voit l’évolution de leur performance en moins d’une semaine (point final, fermons le châpître. A eux de réfléchir, et à nous de parler de l’avenir !).

A cette heure, je ne sais toujours pas si le renfort attendu avant ce match de Coupe de France a été choisi et, s’il y en aura bien un. Il le faudrait, car aborder la période qui arrive avec un effectif qui se réduit, comme peau de chagrin chaque jour, apparaît kamikaze. Reste à savoir quel type de joueur engager : latéral ; milieu latéral, milieu offensif, milieu défensif, attaquant… Je laisse ces soucis à Anigo et lui souhaite bien du plaisir…

Anigo, enfin, que dire sur lui ?
Est ce que l’aspect psychologique suffira à combler les lacunes techniques ?
Avec le mental on peut renverser des montagnes dit-on !
Et bien seul l’avenir nous le dira, et souhaitons lui bien du courage là où Perrin n’a pas, ni pu, ni su trouver de solutions.

En attendant, souhaitons que la rencontre, avec celle que l’on a depuis longtemps baptisée la Fiancée de l’OM , de plus en présence de celui qui nous a cocufié, avec un malin plaisir ces derniers temps, soit placée sous les signes de la joie et du plaisir retrouvés.

Je rajouterais pour conclure, avec une petite pointe d’humour : après les événements de la semaine dernière nous pouvions dire :  » José gagne ! » , j’aimerais que maintenant l’OM puisse également dire :  » J’ose et gagne !  » .

ALLEZ L’OM et DROIT AU BUT !