Bielsa, Labrune, Renard, les tops déclarations !

Les meilleures déclarations de la semaine sur l’OM !

Labrune – 03/03/2015 – France Football « Je ne me suis pas totalement résolu à l’idée qu’il parte, mais je l’intègre depuis le début. On ne va pas se raconter d’histoires. La balle est dans son camp. Idéalement, j’ai envie de le garder. Je serai super-content s’il continue avec nous. Il faut voir d’où nous venons. Nous étions sixièmes la saison dernière, à la rue, nous luttons aujourd’hui pour la place de leader, façonnés par la mentalité de Marcelo, porté par son état d’esprit. »

Bielsa – 05/03/2015 – Conférence de presse « Quand j’ai signé le contrat avec l’OM, j’ai dit que je ne signerai pas pour deux ans. Mon contrat a donc une structure juridique compliquée et je remercie l’institution qui m’a aidé à faire en sorte qu’il se termine automatiquement. Je voulais vérifier si j’étais compétent pour diriger cette équipe. L’idéal sera d’aborder cette question au terme du championnat. Je me sens bien accompagné et soutenu. On ne me cause aucun problème quant au développement de mon travail. »

Morel – 05/03/2015 – Conférence de presse « Apparemment, on lit dans la presse qu’il y a un gros problème au niveau du groupe. Moi, je n’ai aucun problème. Il faut juste en faire plus en termes d’état d’esprit. Aujourd’hui, on en fait un peu moins. Ça se ressent donc forcément sur les résultats. »

Alain Casanova – 05/03/2015 – conférence de presse « Gignac a horreur de la défaite, c’est un grand compétiteur et il entraîne les autres dans son sillage. Il contamine les autres par sa rage de vaincre et sa détermination à gagner. Je ne suis pas du tout surpris du rôle qui est le sien à l’OM. Pour moi c’est le caractère des grands champions. Humainement c’est aussi quelqu’un de très bien. »

Hervé Renard – 05/03/2015 – France Football « J’avais peur d’être rejeté par les Ghanéens. Lorsqu’il a été seul, j’y suis allé. Ça me faisait de la peine de le voir comme ça. J’ai beaucoup d’affection pour Jordan et André. J’ai vécu un an au Ghana, leur petite soeur était scolarisée avec ma fille, on n’habitait pas loin les uns des autres. Je voulais juste le réconforter, même si cela n’a pas servi à grand-chose. »