Sous contrat jusqu’en 2006 (merci Nanard), Delfim, professionnel de l’infirmerie, pourrait partir pour le club portugais de Moreirense dans les prochains jours. Sauf que les dirigeants portugais nous prennent pour des pigeons. Ils souhaiteraient que l’intégralité du salaire soit payé par le club phocéen par l’intermédiaire d’un prêt. Autant dire que l’affaire n’est pas faite.
Sous contrat jusqu’en 2006 (merci Nanard), Delfim, professionnel de l’infirmerie, pourrait partir pour le club portugais de Moreirense dans les prochains jours. Sauf que les dirigeants portugais nous prennent pour des pigeons. Ils souhaiteraient que l’intégralité du salaire soit payé par le club phocéen par l’intermédiaire d’un prêt. Autant dire que l’affaire n’est pas faite.