André Villas-Boas avait donné sa chance à un minot, au coup d’envoi. Le onze phocéen : Mandanda (cap.) – Sakai, Perrin, Caleta-Car, Amavi – Lopez, Strootman, Sanson – Sarr, Benedetto, Germain.
La rencontre a mis du temps à se lancer et Perrin a bénéficié de la première occasion, après un centre de Sarr. Sa frappe à bout portant est passée au-dessus (30e). Amavi a contré un tir de Baldé et sauvé ses buts (42e). Et il n’y a pas eu grand-chose d’autre jusqu’à la pause.
Les Phocéens ont obtenu quelques occasions dangereuses, mais les Dijonnais aussi, en particulier dans les airs.
Mandanda sauvé par son poteau
L’OM a éprouvé plus de difficultés en seconde période. Le DFCO est passé près de marquer à plusieurs reprises. Chouiar a enroulé une frappe à côté (47e), Ecuele-Manga a placé une tête sur le poteau (52e), et Tavares a manqué son contrôle, alors qu’il était seul face aux buts marseillais (65e). Lopez a cédé sa place à Radonjic (68e), Sakai a été remplacé par Lihadji (79e), puis Rongier est entré à la place de Germain (83e). Benedetto a enfin placé un tir à gauche du poteau de Gomis (89e).
Dijon et l’OM se sont donc séparés sur un score nul et vierge. On peut penser qu’il faut s’en satisfaire, alors que les Dijonnais ont paru dominer la seconde période et que Mandanda a eu de la réussite. La formation d’AVB, très diminuée, n’est pas parvenue à reprendre les points qu’il a laissé échapper face à Nice.