Appelez çà comme vous voulez! La poisse, la guigne, le chat noir ou encore la scoumoune…Passons sur le tirage ô combien favorable à nos couleurs, concocté par le vieil Alain et la grande Sophie sur le plateau cher à Pascal Praud et penchons nous sur le cas des canaris : une attaque aussi stérile que le désert de Gobi pendant près de six mois à l’image de son pagayeur tahitien, un fameux jeu à la nantaise en décomposition avancée et bonjour la relégation programmée… Oui mais voilà, juste avant notre arrivée en terre bretonne, la bande à Marcos se réveille et explose les mangeurs de quenelle, qui n’étaient pourtant pas les premiers venus si vous voyez ce que je veux dire… Vous avez dit petits veinards? M’enfin!
Même avec une attaque retrouvée, à l’image d’Alphonse 1er roi d’Espagne et une défense rafistolée, espérons le, par l’arrivée de Torrisi fraîchement prêté par les jambons transalpins, il faudra quand même croiser les doigts, investir dans les gri-gri chers à Baka et marcher, voire se vautrer dans la fiente de volatiles…