L’OM en pleine dictature ? Anigo et son coup de blues…

Bonjour à tous, voici votre revue de presse du mardi 25 mars consacrée à l’actualité de l’Olympique de Marseille.

OM : la grande lessive

On débute donc cette revue de presse avec le dossier que France-Football consacre à l’Olympique de Marseille. Le magazine n’hésite pas à parler de  » grande lessive  » en ce qui concerne le club phocéen et rappelle que  » sans entraîneur, sans qualification européenne, et sans beaucoup d’argent, l’intersaison olympienne s’annonce hasardeuse « . L’hebdomadaire rappelle également que cela fait plus d’un an que Marseille n’a pas vendu un seul joueur.

Anigo, le coup de blues

Dans L’Equipe, on revient sur la rumeur de départ de José Anigo que le coach marseillais a démenti. Ce dernier évoque plutôt un coup de blues après la nouvelle défaite face à Rennes le week-end dernier et assure qu’il terminera la saison à la tête de son équipe.

Anigo au fond du trou

Dans l’édition marseillaise de Métro, on revient également sur la mauvaise passe du coach olympien depuis samedi. Le journal gratuit n’hésite pas à titrer :  » José Anigo avoue avoir la tête au fond du cul  » et rappelle que le coach phocéen pourrait sanctionner quelques cadres lors du déplacement à Sochaux le week-end prochain.

Les dirigeants lâchent les joueurs

Dans le quotidien La Provence, on revient sur la communication des dirigeants après la défaite face à Rennes. Le journal estime que l’OM a lâché ses joueurs en fustigeant leur attitude et en les mettant face à leurs responsabilités. Une manière de faire qui pourrait se retourner contre eux d’ici la fin de la saison.

Dictature à l’OM ?

Enfin, 20 Minutes dénonce de son côté la manière dont les dirigeants de l’OM tentent de verrouiller la parole de supporters en portant plainte notamment contre tout meneur de manifestation à l’encontre de la direction du club. Trois jeunes supporters ont notamment été convoqués ce lundi à l’hôtel de police de Marseille suite à une plainte des dirigeants marseillais. Le club olympien verrouille également la communication du club en fournissant lui-même les dictaphones pour les interviews de joueurs.