Jorge Sampaoli a procédé à de nombreux changements, par rapport à OM-PSG. Il a opté pour le onze suivant : Lopez – Saliba, Caleta-Car, Alvaro – Guendouzi, Gueye Gerson, Luis Henrique, Payet, Amavi – Milik.
Les Niçois sont partis forts. Ils ont obtenu une première occasion par Hassane Kamara, dont le tir est passé au-dessus (3e). Puis Gouiri a ouvert la marque, après un centre en retrait de Guessand. Son tir a heurté le poteau avant de rentrer (6e, 0-1). Les Olympiens n’ont pas pour autant réagi. Ils sont longtemps restés acculés dans leur camp. Guessand a bénéficié d’une opportunité, mais son tir a été trop croisé (14e). Puis Lopez a repoussé une tentative de Gouiri en corner (34e). Les Olympiens ont peu à peu semblé prendre un ascendant physique, terminant fort la première période. Et c’est Payet qui a égalisé, sur un centre de Gerson et après une feinte de Milik (42e, 1-1).
L’OM n’a pas été très inspiré, durant la première période. Les nombreux changements y sont peut-être pour quelque chose.
Les débats ont paru plus équilibrés, en début de deuxième période. Gerson a centré pour Milik, qui a été un poil court. Saliba a hérité du ballon, mais frappé à côté (64e). Saliba a bénéficié d’une nouvelle occasion, après une incursion dans la surface. Sa frappe a été déviée par Dante en corner (70e). Kamara a remplacé Amavi (71e). Lopez a fait une sortie au pied impressionnante face à Atal (79e). Peres et Dieng ont pris les places de Milik et Guendouzi (83e). Les Niçois ont un peu repris l’avantage dans les dernières minutes, tandis que Turpin a distribué quelques cartons pour contestations, après avoir fait quelques coups de sifflet bizarre. Un troisième match nul consécutif, pour l’OM.
Un résultat plutôt positif, alors que Nice vient de dominer Lyon et qu’il ne participe pas à la Ligue Europa (d’où un calendrier plus léger). C’est le troisième match nul consécutif, mais il convient de se souvenir des adverses. L’équipe de Jorge Sampaoli travaille fort tactiquement, et cela va finir par porter ses fruits. Prochain rendez-vous contre Clermont : attention au relâchement, après trois gros matchs !
