OM 1 -2 Caen : revue de presse de la planète

L’agitation médiatique autour des transferts de ces derniers jours aurait presque fait oublier que l’OM avait un premier match compliqué à négocier à domicile face au Champion de L2, le Stade Malherbe de Caen. Certes, le Champion de L1 ne devait pas craindre un promu, mais les incertitudes physiques, les absences de certains cadres, les […]

L’agitation médiatique autour des transferts de ces derniers jours aurait presque fait oublier que l’OM avait un premier match compliqué à négocier à domicile face au Champion de L2, le Stade Malherbe de Caen. Certes, le Champion de L1 ne devait pas craindre un promu, mais les incertitudes physiques, les absences de certains cadres, les mauvaises dispositions psychologiques de certains joueurs laissaient craindre un match pas si facile à gérer pour Didier Deschamps. Et pour cause..

Eurosport.fr : Marseille débute par un crash
Soirée noire pour les supporters marseillais. Livrés à leur impatience de voir arriver un grand attaquant, ils ont vu leur équipe patiner dès la 1re journée du Championnat 2010/2011 en concédant une défaite contre Caen (1-2), samedi au Vélodrome. Le promu, sans complexe, a troué deux fois un Steve Mandanda bien fébrile par Seube (52e) et El-Arabi (85e). C’est la première fois depuis sept ans et un Lille – Lyon (1-0) que le champion de France est battu d’entrée. L’OM méditera ce souvenir : cela n’avait pas empêché Lyon de remporter le titre en 2004 (…)

Lequipe.fr : Marseille tombe de haut
On attendait l’Olympique de Marseille, le champion sortant. Et finalement, au Stade Vélodrome, on a vu Caen, un promu sans complexe, dont l’objectif cette saison sera d’éviter de refaire l’ascenseur. Plus de deux mois après son titre, l’OM a donc débuté ce nouvel exercice de la plus mauvaise des manières : par une défaite à domicile (1-2). Ça fait un peu désordre. Cette première copie olympienne est assez brouillonne : manque de rythme, peu de complicité et difficulté de se plonger vers l’avant. L’équipe de Didier Deschamps est encore en rodage, c’est une évidence, alors qu’elle n’a pas bouclé son mercato. Un milieu (Alou Diarra ?) et un attaquant de renom (Fabiano, Gilardino, Suarez ?) sont toujours attendus sur la Canebière. Les attentes sont encore plus grandes à l’issue de ce résultat qui ne peut satisfaire l’ambiteux entraîneur phocéen (…)

Football365.fr : le champion est en retard

Marseille n’est pas prêt, c’est clair. Il manque à peu près de tout à cette équipe. De joueurs, en défense centrale, de confiance pour son gardien, de fraîcheur physique au milieu et de poids devant. Cela aurait toutefois peut-être pu suffire face à une équipe moyenne. Sauf qu’en face, les Caennais avaient bien préparé leur coup, ont joué et ont su faire la différence. L’équipe de Franck Dumas a même eu le talent d’en remettre une couche après l’égalisation de Samassa qui aurait pu les pousser à reculer. Les Caennais démarrent parfaitement. Les Olympiens, eux, ont du pain sur la planche et devront se concentrer sur le jeu plutôt que sur les transferts dans les prochains jours.

Sport24.com : faux départ pour Marseille
(…) L’affaire semblait pourtant bien embarquée pour les Marseillais, archi-dominateurs dans la possession de balle (jusqu’à 82% !) et tout proches de trouve la faille sur un petit ballon piqué de Lucho Gonzalez (15e). Un écran de fumée. (…) après un numéro d’El-Arabi, Mollo trouvait le poteau (25e). Dès lors, on n’y voyait plus que du jaune fluo sur la pelouse du Vélodrome. Une frappe de Nivet détournée in-extremis par N’Diaye par-ci (40e), deux Caennais absolument seuls qui manquaient le cuir au second poteau sur corner (41e) par-là, et une frappe en pivot d’El-Arabi (43e) pour couronner le tout ! (…) Peu après le retour des vestiaires, Cissé perdait un ballon dans l’entrejeu. Seube récupérait, s’avançait et décochait une frappe rebondissante qui trompait Mandanda (0-1, 53e). Douché, le Vélodrome aurait même pu être glacé dans la foulée si Azpilicueta n’avait pas enlevé le cuir des pieds de Mollo (59e). Un sauvetage d’autant plus décisif que Samassa, légèrement hors-jeu au départ de l’action, profitait des atermoiements du duo Sorbon-Thébaux pour égaliser (1-1, 77e). Le peuple marseillais se remettait alors à y croire, surtout que Niang manquait de peu de doubler la mise dans la foulée (79e). Mais le dernier mot revenait aux Caennais et à la forte tête El-Arabi (1-2, 86e) (…)