Comme un seul OM
On commence cette revue de presse avec La Provence qui fait la part belle au succès olympien face aux Verts : » Comme un seul OM « , titre le journal dans ses pages intérieures, alors qu’en Une, le quotidien régional lance un » Toujours premiers « et d’ajouter : » Plus qu’un succès, le club olympien a aussi conquis un Vélodrome bouillant », conclut le média provençal.
Si, l’OM a souffert
Du côté du Parisien, on évoque aussi ce succès olympien. Le quotidien francilien revient sur les difficultés rencontrées par les joueurs de Bielsa en seconde période face à Saint-Étienne “si, si, l’OM a souffert”, titre le journal. Et d’ajouter : “Les Marseillais restent de beaux leaders, avec deux points d’avance sur Bordeaux et cinq sur le PSG, qui ferait bien de se réveiller un jour« , conclut le média.
Cet OM sait aussi résister
Même son de cloche du côté de l’Équipe qui rappelle qu’en plus d’être un rouleau compresseur pour ses adversaires, « Cet OM sait aussi résister » titre le quotidien sportif qui souligne également que « même si l’OM aurait pu bénéficier de deux pénalties en seconde période avec un arbitre plus tatillon, sa deuxième partie de match poussive est une bonne piqûre de rappel. Ca ne sera pas toujours aussi facile qu’à Reims » conclut le média.
Le pressing, l’arme fatale
Dans le gratuit 20 minutes, on fait la part belle au jeu déployé par l’équipe olympienne : « le pressing tout terrain, l’arme fatale de l’OM version Bielsa’ titre le journal. ‘Avec Marcelo Bielsa, les joueurs olympiens étouffent l’adversaire en harcelant constamment le porteur du ballon… », poursuit le quotidien qui précise que « Marcelo Bielsa a fait de son équipe une machine à presser aux quatre coins du terrain pour étouffer l’adversaire et se créer des situations de buts en récupérant la balle très tôt ».
Gignac ouvert à tout
On termine cette revue de presse avec André-Pierre Gignac qui évoque son avenir immédiat à l’OM. « Je suis ouvert à tout » indique le buteur olympien qui réalise un très bon début de saison l’année même où il va se retrouver libre, alors que son salaire pose un problème à ses dirigeants : « Je suis ouvert à tout. Pourquoi pas une 6e année, une 7e, une 8e… bon, après, je vais me faire vieux ! » déclare Gignac au micro de RMC qui précise que ce dossier paraît toutefois compliqué quand on sait que Vincent Labrune souhaite se débarrasser des gros salaires de son effectif.