Malgré la défaite l’OM se qualifie pour le prochain tour grâce à l’avance prise lors du match aller. Au prochain tour les hommes d’Eric Gerets rencontreront encore une équipe Russe à savoir l’équipe du Zenith Saint Pétersbourg. Le match face à Moscou peux donc être considéré comme une préparation idéal pour ce huitièmes de finale de la Coupe UEFA.
Eurosport.fr : « Marseille s’est fait peur »
Une défaite sans incidence, mais une défaite quand même. Battu à Moscou par le Spartak (0-2), l’Olympique de Marseille s’est qualifié pour les huitièmes de finale de la Coupe de l’UEFA à la faveur de sa large victoire acquise au match aller (3-0). Mais il pourra longtemps regretter son manque de réalisme offensif. Car si les Russes ont inscrit un but à chaque mi-temps, par Pavlenko (40e), puis Pavlyuchenko (86e), ce sont bien les Phocéens qui se sont montrés les plus dangereux. Les montants de Pletikosa ne diront pas le contraire.
Football365.fr : « L’OM souffre mais passe »
Vainqueur 3-0 au match aller, l’OM avait fait le plus dur. Les Marseillais avaient donc principalement pour objectif jeudi de ne pas tomber dans le piège russe. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’ils ont essayé et réussi en début de match à contenir le Spartak le plus bas possible. Au fil des minutes, maîtriser la formation moscovite est devenu de plus en plus compliqué, mais deux frappes de Valbuena et Cissé auraient pu tout changer si elles n’avaient pas trouvé les montants. Un peu contre le cours du jeu, le Spartak trouvait lui le chemin des filets juste avant la pause. Marseille ne méritait pas forcément d’être mené à ce moment de la partie, mais l’essentiel devenait alors pour les hommes de Gerets de ne pas lâcher prise. Courageux, les Marseillais encaissaient pourtant ce fameux deuxième but à cinq minutes de la fin mais repartent de Moscou certes avec une défaite qui brise leur belle série mais surtout avec leur billet pour les huitièmes.
La Provence.com : « L’OM s’est fait peur »
Ouf ! Quand l’arbitre autrichien a sifflé la fin après trois minutes de temps additionnel, la qualification olympienne a été accueillie avec soulagement. Car sans mériter d’être éliminé, l’OM s’est fait peur à Moscou. Autant à 0-0, qu’à 1-0 pour le Spartak, les Olympiens ont pourtant donné la sensation de maîtriser la situation, de ne pas trembler. Et Mandanda n’a pas sorti le grand jeu, malgré quelques parades minimales. Mais à 2-0, à six minutes de la fin, plus le rab habituel, les Russes ont pu croire en leur étoile et les supporters marseillais craindre une prolongation qui ne s’annonçait pas favorable à l’OM.
Site officiel de l’OM : « BATTU MAIS QUALIFIE »
L’OM sera au rendez-vous qu’il s’était fixé. Le 6 mars, les Phocéens recevront le Zenit Saint-Petersbourg en 8e de finale comme en 2006. Et si le score final pourrait laisser imaginer que l’équipe s’est faîte peur, le Spartak n’a réellement cru en ses chances de renverser la nette tendance de l’aller qu’à cinq minutes de la fin, après le but de Pavluchenko. Ce fut trop court. Et cela aurait été un vrai petit scandale, tant la rencontre livrée par les Marseillais, et notamment la première période, ne pouvait leur réserver les prolongations.
Sport24.com : « L’OM a tremblé »
On pouvait penser qu’avec l’avantage acquis à l’aller, Eric Gerets allaient faire tourner l’effectif. Le coach belge n’a pas cédé à la tentation en alignant la même équipe que face au Paris SG, excepté MBami, aligné à la place de Cheyrou, blessé. Le Camerounais a d’ailleurs fourni une grosse prestation, prenant rapidement la place de Kaboré, blessé, devant la défense. La charnière Givet-Cana, performante lors des deux derniers matches, a ce coup-ci donné quelques signes de faiblesse. Deux cartons jaunes reçus en première période les ont sans doute handicapés, mais ils auront souffert face à la vitesse de Wellinton et la taille de Pavlyuchenko. Devant, on a beaucoup plus vu Valbuena, très remuant, que Nasri qui a eu du mal à jouer entre les lignes, tandis que Cissé et Niang se sont beaucoup démenés pour pas grand-chose, au final.
Sports.fr : « Marseille perd et passe »
L’essentiel est fait ! En ne s’inclinant « que » de deux buts sur la pelouse synthétique du stade Loujniki, l’OM a réussi à préserver son gros capital du match aller (victoire 3-0), mais nul doute que le perfectionniste Eric Gerets n’aura guère goûté le scénario de ce 16e de finale retour. Car s’ils ont souvent paru maîtriser la situation, grâce notamment à leur technique individuelle supérieure, les Phocéens se seront finalement procuré des frayeurs inutiles, d’abord en faisant une fois de plus preuve d’un manque d’efficacité flagrant, avec notamment Cissé qui aura beaucoup tenté et raté, mais aussi en manquant de concentration et de rigueur à la fin de chaque mi-temps, ce qui a permis au Spartak de marquer deux fois et d’y croire jusqu’au bout.