VA 0-0 OM : revue de presse de la planète

Malgré de nombreuses occasions les joueurs de l’OM ont manqué de réalisme lors de cette rencontre. Les olympiens restent cependant en course pour la Ligue des champions. Football365 Un début de match enlevé laissait présager d’une avalanche de buts. Mais finalement, cette promesse ne sera jamais tenue car les deux équipes n’étaient pas dans un […]

Malgré de nombreuses occasions les joueurs de l’OM ont manqué de réalisme lors de cette rencontre. Les olympiens restent cependant en course pour la Ligue des champions.

Football365
Un début de match enlevé laissait présager d’une avalanche de buts. Mais finalement, cette promesse ne sera jamais tenue car les deux équipes n’étaient pas dans un bon soir offensivement. Erreurs individuelles en pagaille, mauvais services, rien n’a été fait ou presque pendant les deux derniers tiers du mach pour permettre aux attaquants de s’exprimer. Résultat final nul et vierge (le quatrième de suite à la maison pour VA) qui n’arrange pas vraiment grand monde et surtout pas les Marseillais qui auront noté les succès de Toulouse et de Lille dans la course à la Ligue des Champions. Ils peuvent regretter leur première mi-temps où ils avaient les moyens de faire la différence.

Eurosport
Quatorze ans après l’affaire VA-OM, les retrouvailles entre les deux équipes ont accouché d’un match nul (0-0). Si les joueurs de l’OM ont dominé des Nordistes au jeu pauvre, ils ont manqué de réalisme. Les Phocéens peuvent nourrir des regrets mais restent en course pour la Ligue des champions. Malgré un bon jeu et des occasions franches, Marseille n’empoche qu’un petit point à cause de son manque de réalisme mais reste en 5e position et demeure en course pour une place en C1.

Sport24
Quand un simple match de football est rattrapé par son passé. On l’attendait depuis la remontée de Valenciennes en Ligue 1, le fameux VA-OM avait enfin lieu ce samedi, sur la pelouse de Nungesser. Les aveux de Glassmann, l’enveloppe de Christophe Robert, le début de la fin de l’OM de l’ère Tapie. Tout le monde avait évidemment cela en mémoire avant de jouer cette rencontre. Pourtant, le coup d’envoi donné, chacune des deux équipes se rappelait vite à ses ambitions. Le maintien pour les Nordistes, et une place européenne pour les Phocéens. (…) Mis à part quelques banderoles caustiques déployées dans les tribunes, les vieux souvenirs de 1993 n’ont que très rarement ressurgi. Au final, c’est peut être la bonne nouvelle de la soirée pour tout le monde : une page est définitivement tournée.

La Provence
Harmonisé dans son 4-3-3 où l’animation offensive restait intacte par rapport au succès sur Lille, l’OM a accumulé les occasions. Nasri seul devant Penneteau, Pagis à deux reprises, Maoulida, Niang, chacun a eu la possibilité placer l’OM sur orbite. La fébrilité défensive valenciennoise n’a pas été suffisamment prise en compte. Maladroite, elle a ouvert des brèches dont l’OM n’a pas su profiter. On aurait aimer voir le jeu olympien plus percutant, plus provocateur, inspiré, moins individualiste par instant, notamment en début de seconde période. Rarement mis en difficulté sur ses bases arrières, à l’exception d’un oubli sur Savidan dans le temps additionnel et d’une opportunité en seconde période, l’OM avait l’assise pour se lâcher un peu plus.

La voix des sports
Il y a le 0-0 de misère et celui d’hier. Pour ce match des retrouvailles, les deux équipes se sont livrées et n’ont même pas manqué de respect l’une envers l’autre, se craignant, se cognant. Marseille aurait pu casser les reins nordistes en première période. Seulement VA n’a jamais lâché et a, lui aussi, eu plusieurs fois son rival dans sa mire. Au final, ça peut être équitable. Cette saison à l’OM, il y a de bien beaux footballeurs, on l’oublie parfois quand le mistral et les présidents fantômes détournent l’attention. Il y a par exemple deux jeunes internationaux promis à un règne chez les Bleus, Ribéry et Nasri, le Boulonnais et le minot, qui jouent au ballon comme ils respirent.

Site officiel de l’OM
Venu pour s’imposer, l’OM est reparti du Nord avec un point, et donc quelques regrets. Ce qui veut au moins dire que le contenu donne matière, ce qui n’avait pas été le cas à Lorient. Ces regrets trouvent principalement leur source dans une première mi-temps pleine, et parsemée d’occasions franches. Car si les Olympiens n’avaient pas fait de mystère quant à leurs intentions cette semaine ; en jouant haut, en mettant du rythme, en plaçant des accélérations, ils mettaient paroles et actes en adéquation dès l’entame. (…) Comme sur cinq autres stades de Ligue 1 samedi soir, un score nul et vierge traduisait d’un point de vue comptable une rencontre pourtant dominée par les Marseillais. Un petit goût d’inachevé. L’OM pouvait espérer mieux, mais doit déjà se focaliser sur son rendez-vous passionnant de mercredi en Coupe de France.